contraste des calsses

On se retrouve sur les berges de la rivère d Saïgon (super original le nom!). Ici c'est le quartier chic, d'immences immeubles blancs se dressent peu  partout, les parking sont pleind de beaux gros 4*4 et les gens restent à l'intérieur sous l'air climatisé. Devant chaque hôtel, une décoration de Noël la plus grosse possible: ici un père Noël tiré par 10 rennes, là une crèche géante... Dans ce secteur, les policiers sont armés de fusil à pompe et n'ont pas l'air de rigoler. Il y a toujours des vendeurs ambulant qui essaient de profiter de la concentration de riches clients potentiel.

 

On fini notre visite par le célèbre marché couvert Ben Thanh qui a longtemps été l'attraction principale de Saïgon. Mis en activité pendant l'occupation française, ces halles ont détruites puis reconstruites et enfin démennagées jusqu'à leur emplcement actuel. On y trouve tout et n'importe quoi exepté des animaux vivants: chaussures, vêtements, bijoux, parfums, épices, poissons, soie, accessoires de modes, stand d'échange d'argent... Le jeu pour tout ce qui touche l'habillage est de deviner la ou les marque(s) que le produit proposé essaie de copier. je fini par craqué pour les Pum'a'diddas et Stéphane pour des Ferr'a'mup (mix entre Ferarri et Puma).

sur la rivère de Saïgon

On quitte saïgon avant le lever du jour pour remonter dans les terres du pays direction Dalat la montagneuse. La végétation se fait de plus en plus dense et conifériques (je nesais pas trop s'il existe ce mot!) et les pleines se vallonent. On croise plein de petites maisons coloniales aux façades colorés qui font le charme des vilages qu'on traverse. Plus on se rapproche de Dalat et plus on voit de grande étendu de café qui sèche sur des baches devant les maisons. Cette fois-ci pas de probème de pneu creuvé mais 4h de  retard! En arrivant à Dalat, tout le monde porte des gros manteaux et on comprend vite pourquoi en descendant du bus. Les nuits sont bien fraîches par ici.

panorama de la ville

Après une nuit revigorante, une journée de bus ça épuise, on loue une moto et on part à la découverte des alentours. Par chance la gérante de l'hôtel nous prête des pull parce qu'on n'était pas vraiment équipé pour ces températures. Attention c'est la première fois que je conduit un engin motorisé à 2 roues, Stéphane a fait preuve de beaucoup de sang froid!

 

On s'arrête devant les 2 cascades les plus proches. L'attraction est bien gérée: entrée payante, toilettes payantes, souvenirs à prix doubles, restauration idem et même wagon sur rail imitation grand huit pour atteindre les chutes d'eau sans se fatiguer. A coté de la cascade, on peux payer pour prendre la photo kitch sur un poney avec un costume local! On se contente de payer l'entrée et d'aprécier la beauté des chutes.

on trouve 3 pagodes cachées dans les pins

Sur la coline acollée à la cascade Thâc Prenn, est construit un interminable escalier qui mène à des pagode. On a bien cru qu'on en verrait jamais la fin de ces foutues marches. Mais on a été bien récompensé tout d'abord par la vue du haut de la colline et par la beauté des pagode. Juste au dessus de la plus haute, on trouve une imitation tronc d'arbre en béton de 10m de dia. A l'intérieur est aménagé une petite maison avec électricité, eau et un moine qui regarde la télé!

 

Les pagodes, sont des temples boudhistes en forme carré avec un patio interieur dans lequel est construit une montagne miniature dans une fontaine avec des mini pagodes, des mini ponts, des mini temples, des mini moines et des vrais poissons. Dans toues les pagodes, de l'encens brûle et des fruits, fleurs, thé sont offert à Boudha. Le plus mimi sont les arbres sur les terrasses, taillé en plateau.

 

repas au "oplâ" traduire "oeuf au plat"

On se recompense de tous ces efforts par un petit repas typique: le oplâ. Importé par les coloniaux français, ce mets est un simple oeuf au plat avec du pain grillé. On part ensuite à la recherche du Chiken village, qui est facile d'accés selon le guide mais qui malgrè nos efforts acharnés reste introuvable. On en profite pour faire un tour on pieds de la montagne et parler avec les habitants des campagnes. Enfin nous on leur parle avec des gestes pour qu'ils comprennent et eux nous repondent en vietnamien, donc c'était sympa mais on n'a pas compris grand chose.